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La gestion du temps de travail et le contrôle des horaires
n'aura jamais été aussi facile.
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Règlementation pointeuse : obligations en 2025

Temps de lecture : 8 min


Ce qu’il faut retenir :

  • Le pointage des employés Belgique est une obligation légale implicite : les entreprises doivent assurer un suivi fiable des horaires.
  • Tous les systèmes de gestion du temps doivent aujourd’hui respecter le RGPD et offrir des garanties sur la protection des données.
  • Il existe plusieurs types d’outils de pointage : badgeuses, logiciels cloud, solutions mobiles ou biométriques.
  • Les solutions digitalisées offrent des avantages en matière de flexibilité, de conformité et d’intégration aux systèmes RH.
  • La biométrie impose des obligations renforcées (DPIA, alternatives, consentement non contraint).
  • Comparer les solutions de pointage permet de choisir un système adapté, conforme, et efficace pour ses travailleurs.


En Belgique, le pointage au travail constitue une fonction centrale dans la gestion du personnel et la mise en conformité au droit du travail et au RGPD. En 2025, chaque entreprise est tenue de mettre en place un système fiable permettant un enregistrement précis du temps de travail presté par ses employés — que ce soit sur site, à distance ou en déplacement.

Des méthodes traditionnelles comme la badgeuse aux solutions cloud et mobiles intégrées aux outils RH, le marché propose des outils variés. Toutefois, toute collecte de données. notamment biométriques, doit répondre aux exigences strictes du RGPD, via une analyse d'impact et un usage proportionné. Le choix d’un système de pointage des employés Belgique n’est donc pas qu’une question fonctionnelle : il engage aussi la responsabilité juridique de l’employeur.

Solution biométrique comme les logiciels de gestion du temps ou la pointeuse numérique, chaque outil doit garantir la fiabilité et la légalité du suivi horaire.

pointage

Le pointage est-il obligatoire en Belgique ?

Le code du travail belge impose aux employeurs de contrôler les horaires de travail de leurs salaries. Cette obligation s’applique quels que soient le lieu ou le mode de travail (présentiel, télétravail, travail sur le terrain). Toutefois, la législation n’impose pas un seul type de système de pointage : l’entreprise est libre d’adopter le moyen qui lui semble adapté, à condition qu’il soit fiable, documenté, et conforme à la réglementation.

La loi du 16 mars 1971 sur le travail oblige à archiver les horaires des travailleurs. Et l’arrêté royal du 8 août 1980 impose la conservation des enregistrements du temps de travail, qui doivent pouvoir être présentés aux inspecteurs du SPF Emploi. Cette exigence concerne tous les secteurs d’activité et toutes tailles d’organisation.

Les solutions modernes de pointage conformes au RGPD

Le pointage des employés Belgique peut se faire par différents moyens, à condition que le système retenu garantisse la conformité aux textes en vigueur, notamment le RGPD et la loi belge du 30 juillet 2018. Voici les principales options disponibles pour les entreprises belges :

  • Badgeuses et pointeuses classiques : permettent un enregistrement simple des entrées/sorties via un badge magnétique ou une puce. Très utilisées, mais limitées en termes d’analyse et de personnalisation.
  • Logiciels de gestion du temps de travail : ils offrent des outils avancés de planification, de suivi des congés, du télétravail, des heures supplémentaires, etc. Intégrables avec les systèmes de paie.
  • Solutions biométriques : plus sensibles juridiquement, elles reposent sur l’usage d’empreintes digitales ou d’autres données physiologiques. Nécessitent une DPIA, une alternative possible (badge, code) et une justification d’usage.

Quel que soit le choix de l’outil de pointage, il est impératif de garantir la sécurité des données, la transparence avec le personnel et une traçabilité permettant un audit légal.

Comparatif des outils de pointage en 2025

Pour faire un choix éclairé, il est essentiel de comparer les différents outils de pointage disponibles sur le marché belge. Ce tableau synthétique met en lumière les atouts, limites et coûts moyens des principales solutions.

Type de pointageAvantagesInconvénientsCoût estimé
Badgeuse / Pointeuse Simplicité d'utilisation, fiabilité Peu souple, absence de données détaillées À partir de 300 €
Logiciel de gestion du temps Fonctionnalités complètes, intégration avec la paie Besoin de formation, abonnement mensuel Entre 10 et 30 €/mois/employé
Solution biométrique Intransmissible, infalsifiable Forte réglementation RGPD, coût DPIA Entre 600 et 2000 € + frais de conformité

Comparer les différents systèmes de pointage selon ses besoins, sa taille d’entreprise et son degré de digitalisation permet d’optimiser à la fois la gestion du temps et la conformité légale.

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Les tendances 2025 en matière de pointage digital

Évolution vers des solutions cloud et mobiles

En 2025, la digitalisation des systèmes RH transforme les usages. De nombreuses entreprises belges migrent vers des solutions de pointage hébergées dans le cloud. Résultat : un accès simplifié, un suivi en temps réel et une souplesse pour les équipes mobiles ou en télétravail. Les applications mobiles , souvent couplées à la géolocalisation ou à un code QR d’entreprise, permettent aux salariés de pointer facilement depuis leur smartphone.

Ces outils facilitent la centralisation des données RH, la transmission à la paie, et offrent des tableaux de bord automatisés pour suivre les absences et les heures supplémentaires.

Intégration aux logiciels de paie et ERP RH

Autre tendance forte : l’intégration directe des systèmes de pointage aux logiciels de gestion RH (ERP, SIRH, paie). Cette automatisation réduit les erreurs manuelles, fluidifie la gestion des horaires et garantit une meilleure traçabilité des données. En 2025, cette interconnexion devient quasi indispensable pour assurer la conformité et respecter les obligations déclaratives de l'employeur.

Le cas de la pointeuse digitale biométrique

Depuis l’entrée en vigueur du RGPD, l'utilisation des données biométriques (empreintes digitales notamment) est strictement encadrée. En Belgique, une pointeuse biométrique ne peut être utilisée que si les conditions suivantes sont respectées :

  • L’employeur doit démontrer qu’aucune solution moins intrusive n’était possible (badge, mot de passe, etc.).
  • Une DPIA (analyse d’impact) est obligatoire avant la mise en service.
  • Le consentement des employés ne peut être purement formel. Il doit être libre, spécifique, informé et non contraint.

Depuis 2024, l’APD a rappelé que seule une justification proportionnée et documentée peut légitimer un recours à la biométrie. Des amendes potentielles existent si ces conditions ne sont pas respectées, sans qu’un montant standard ne soit fixé dans la réglementation belge.

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Les implications pour les entreprises belges en 2025

Mettre en place un système de pointage efficace et conforme est une démarche stratégique pour les entreprises en 2025. Cela implique :

  • Choisir une solution proportionnée aux objectifs poursuivis et justifier son adoption.
  • Respecter les exigences du RGPD, notamment sur la conservation des données, leur sécurisation et l’analyse préalable (DPIA) en cas de biométrie.
  • Intégrer le dispositif au règlement de travail et informer les salaries de manière claire et complète.
  • Éviter les risques juridiques ou sanctions liées à un défaut d'obligation d'information, de documentation ou de sécurité.

Exemple : Une petite entreprise utilisant une pointeuse biométrique sans DPIA ni alternative aurait pu être sanctionnée même si aucun litige n’était survenu. La conformité réside autant dans la démarche préventive que dans la qualité technologique du matériel utilisé.

Exemples pratiques et études de cas

Prenons trois scénarios illustrant la mise en place réussie (ou non) d’un dispositif de pointage en Belgique :

  • Cas 1 - PME logistique : mise en place d’un logiciel cloud de pointage mobile avec code QR pour chauffeurs. Gain : traçabilité immédiate, réduction du temps d’attente et intégration à la paie.
  • Cas 2 - Secteur médical : recours à un système biométrique (empreinte) sans alternative. Absence de DPIA. Résultat en 2024 : mise en demeure par l’APD avec obligation d’abandonner le système faute de caractère proportionné.
  • Cas 3 - Bureau d’études : abandon d’une badgeuse ancienne au profit d’un logiciel intégré. Résultat : simplification des plannings et amélioration de la gestion des absences.

Ces études de cas montrent comment le respect du cadre légal, l’analyse des besoins métier et la prise en compte du personnel permettent une mise efficace et sécurisée d’un système de pointage.

Bonnes pratiques pour se mettre en conformité

Pratique recommandéePourquoi c’est importantExemple
Informer les salariés Favorise la confiance et la transparence Email ou réunion expliquant le but du système
Réaliser une DPIA Obligation légale pour traitement biométrique Analyse d’impact avant installation d’un capteur
Sécuriser les données Éviter les pertes ou piratages Serveurs en UE avec chiffrement, audits annuels

FAQ

Quelles sont les nouvelles réglementations pour le pointage des heures en 2025 ?

En 2025, les employeurs belges doivent garantir un suivi fiable du temps de travail, quel que soit l’environnement (présentiel, télétravail). Le choix du système de pointage est libre, mais il doit être conforme au RGPD.

Comment se conformer aux lois de pointage en Belgique ?

Informer les salariés, choisir une solution conforme, sécuriser les données traitées, et réaliser une DPIA pour tout dispositif biométrique sont des étapes incontournables.

Quels outils de pointage sont les plus efficaces ?

En 2025, les outils plébiscités sont les badgeuses connectées , les logiciels cloud et les applications mobiles intégrées aux RH.

Quelles sont les conséquences d’un mauvais système de pointage ?

Une non-conformité avec le RGPD ou le droit du travail belge peut exposer à des sanctions ou à l’obligation de retirer le dispositif en place sans délai.

La biométrie est-elle autorisée pour le pointage ?

Oui, si elle est justifiée, qu’il n’existe pas d’alternative, qu’une DPIA a été réalisée, et que le consentement est libre et informé.

Peut-on pointer depuis un smartphone ?

Oui, de nombreuses entreprises belges utilisent des apps mobiles associées à un QR code ou à la géolocalisation, validées par un logiciel cloud certifié RGPD.

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